See A. J. P. Desreumaux, "Pour une Bibliographie sur l'épigraphie Syriaque", Annali: Istituto Orientale di Napoli (New Series), 1980, Volume 40, pp. 147-161; J. La seule preuve offerte par Mingana était la similitude dans les noms des voyelles Syriaques et Arabes. Sofern diese Schreibreform auch im Korantext durchgesetzt wurde, konnten Konsequenzen für bestimmte Lesarten nicht ausbleiben. Avant lavènement de l'Islam, le Grec est déjà devenu la langue prédominante de l'Asie occidentale. 4-10. Tous les deux affirment qu’une écriture systématique existait déjà en Arabie pré-islamique. De son vivant, Ibn Mas‘ūd aurait exprimé des critiques contre le codex de ‘Uthmān et son entourage relaya ces revendications. Comme les mosquées dont il est question sont attestées depuis le viie siècle et le début du viiie dans le cas de Kairouan, le terminus post quem se place trop haut pour fournir un repère chronologique utile. matres lectionis dienen. Un exemple est la "Sahifah" dHammam Ibn Mounabih (décédé 110H /719), un disciple du Yéménite et compagnon du Prophète Abou Hourayrah, (décédé 58H/677), à partir duquel Hammam a écrit cette Sahifah, qui comporte 138 Hadiths, aux alentours de la première moitié du premier siècle de lHégire (VIIème siècle). Indépendamment du manque de discernement de Luxenberg concernant le développement de lorthographe, grammaire et lexicographie Syriaques et Arabes, son travail ne fait aucune tentative pour ancrer ses arguments dans n'importe quel contexte historique crédible, comme nous lavons déjà vu. noter que cette entreprise qui se veut neutre est parfois exploitée par des Dautre part, Luxenberg a introduit une autre dimension dans cette question des voyelles. Très rapidement, comme les historiens modernes, les savants musulmans se sont trouvés confrontés à l’épineuse question de l’authenticité des récits qui circulaient. Portail de ressources électroniques en sciences humaines et sociales, https://doi.org/10.4000/annuaire-cdf.12520, Histoire du Coran. apparentes contradictions et ruptures thématiques; Michel Cuypers s'est En revanche, les raisons d’un usage limité des points diacritiques continuent à nous échapper. (décédé 310H/923) mentionne également un récit qui indique qu'il y avait cinq lectures (c-à-d., khamsah ahruf) du Coran, que Luxenberg suggère correspondre aux cinq signes des voyelles Syriaques (34). Tout en discutant le corpus de la preuve documentaire concernant lavènement l'Islam et de son absence presque totale dans le travail de Christoph Luxenberg, entre d'autres, il dit : « Dabord, nous avons un certain nombre de preuves physiques - particulièrement de sources non-Musulmanes, papyrus, inscriptions et excavations archéologiques - qui peuvent servir de référentiel externe utile et dont lexploitation de la richesse vient juste de commencer d'une façon systématique. Alors il a dit, « je n'ai jamais supposé que l'état du peuple arriverait à ceci ! Friedrich Schwally, qui a participé à la refonte de la Geschichte des Qorāns de son maître Nöldeke, s’est montré un peu plus critique que ce dernier vis-à-vis des sources relatives à cet épisode – pris dans son ensemble. Ce dernier est généralement crédité de l’établissement du texte qui est reconnu par l’ensemble des musulmans, mais nos sources font état d’autres recueils qui furent le résultat d’initiatives prises par d’autres Compagnons : certains sont relativement peu connus, comme Sālim, d’autres comme Ibn Mas‘ūd ou ‘Alī étant en revanche des personnages de premier plan. 47K. Nous ne pouvons que seulement supposer. [45] The isnad bundles were drawn using Hadith Sharif software by al-Sakhr. Reinhart Dozy signale ainsi que. [15] A. Grohmann, "The Problem Of Dating Early Qur'ans", Der Islam, 1958, p. Quant aux voyelles arabes, il écarte les avis d'auteurs arabes et leurs préfèrent les points de vues Araméens ainsi que ses propres spéculation. Dans ce cas toutefois, le bout ajouté pour introduire la rime continue à être isolé comme un verset à part – ou du moins l’était-il initialement car la marque de fin de verset a généralement été effacée par la suite. La solution alternative de l’alif suscrit restait à inventer. Mais même lorsque ces plus anciennes copies conservent des indices qui montrent qu’elles dérivent d’un modèle antérieur, elles ne lui sont postérieures de quelques années. En outre, Bellamy présentant ses observations sur les inscriptions de Jabal Ramm, Umm al-Jimal et Harran indique : « N'importe qui jette un coup d'il à ces inscriptions et les compare à l'échantillon de Coran
discernera un nombre très élevé de caractères qui n'ont pas changés du tout, ou très peu, en 1600 ans qui se sont écoulées depuis quelles ont été écrites »(16) . Selon Luxenberg, l'alphabet Arabe utilisé dans le Coran a commencé en tant quun certain genre de sténographie, un dispositif mnémonique non prévu comme solution aux sons vocaux de la langue. فلمسوه بأيديهم لقال الذين كفروا إن هـذا إلا سحر مبين, , mais d'éduquer les êtres humains par un message oral, de manière graduelle. Selon lui, l'aspect décousu du Coran ne serait qu'impression trompeuse, due au fait que la rhétorique "cachée" dedans aurait été perdue depuis l'époque de sa rédaction ce qui est actuellement prouvé de manière incontestable par la thèse d’Anne-Sylvie Boisliveau dans son ce livre « Le Coran par lui-même » édition Brill 2013. 309-310. 2, pp. Pour les musulmans, le Coran n'est pas un livre au sens où les occidentaux entendent ce terme. 37 Au bout du compte, les plus anciennes copies du Coran s’avèrent d’une importance essentielle pour nous permettre d’approcher de plus près l’histoire du texte coranique. Selon ces diverses écoles de pensée révisionniste, l'Islam était à l'origine une secte juive (Hagarisme) ; le Coran était contemporain de la Sira (Wansbrough) ; L'Islam a surgi dans le désert du Néguev validant dune façon ou d'une autre l'hypothèse de Wansbrough (Nevo) ; le Coran est venu après la Sira et le Hadith (Rubin) ; le Coran était une production Irakienne créée avant la Sira (Hawting) et, récemment, le Coran est un produit du christianisme Syriaque (Luxenberg). Luxenberg says:Haben die arabischen Philologen und Kommentatoren nach den vorgebrachten Beispielen selbst echte arabische Ausdrücke verlesen, so liegt die einzig mögliche Schlußfolgerung im Hinblick auf eine mündliche Koranüberlieferung auf der Hand. Ceci vient de leur hypothèse, affirmée ouvertement ou tacitement, que le Syriaque contrairement à l'Arabe était plus ancien et par conséquent avait stabilisé son orthographe, sa lexicographie et son grammaire. Egalement, en ce qui concerne la position des points, chaque personne prend l'autorité de les placer à sa guise. Pareil à Mingana, un des plus grands inconvénients de l'hypothèse de Luxenberg est son incapacité à expliquer les origines de l'Arabe classique. L’attitude des auteurs des ouvrages où nous les trouvons variait, entre ceux qui faisaient une sélection et choisissaient une version et ceux qui collectionnaient les récits, même s’ils divergeaient entre eux. En ce qui concerne l'histoire de l'Arabe comme langue écrite, elle est mieux dépeinte par les inscriptions suivantes qui sont aussi bien préislamiques que postislamiques du 1er siècle et qui montrent le développement progressif de lécriture Arabe. Elles ne sont pas ajoutées afin de perfectionner ou améliorer lécriture. Commentaire du Coran / 1 Commentaire de la Basmala, de la sourate al-Fâtiha, de la sourate al-Baqara : (La Génisse du verset 1 au verset 105) by: Ṭabarī, Muḥammad Ibn-Ǧarīr aṭ- 839-923 Published: (1983) Commentaire du Coran / 4 by: Ṭabarī, Muḥammad Ibn-Ǧarīr aṭ- … Pour conclure avec une citation de Walid Saleh « essentiellement, Luxenberg argue que l'Islam est le résultat d'une comédie (ou tragédie) philologique des erreurs. Ces différences ne sont peut-être pas seulement un problème de transmission plus ou moins fidèle d’une génération de collecteurs à une autre, comme semble le penser Motzki. The inscription found at Jabal Seis (or Jabal Usays) is dated (p. 6); H. J. W. Drijvers, "Syrische Inscripties Uit De Eerste Drie Eeuwen A.D.", Phoenix, 1969, Volume 15, No. 78. [102] M. Hamidullah, Sahifa Hammam bin Munabbih: The Earliest Extant Work On The Hadith, 1979, Centre Cultural Islamique: Paris. The inscription found in Sekizlar is dated (pp. Cependant, c'est la version Arabe Originale qui détaille le système des points et qui nous intéresse ici. Si nous nous en tenons au seul rasm, l’absence de diacritiques non pas sur toutes les lettres qui doivent en être pourvues, mais seulement sur celles qui doivent être ponctuées pour que le texte ne soit pas ambigu laissait la porte ouverte aux divergences. Si nous reprenons l’exemple des versets 12 à 16 de la sourate 23, un noyau de courts versets (12 à 14) est intégré à l’ensemble en cours de constitution pour former la sourate : il faut donc le placer (éventuellement) entre des versets déjà en place et apporter un complément rimé aux versets 12 à 14, une opération somme toute bien plus complexe, on le voit, que ne le serait un simple ajout de texte à la suite d’un morceau déjà constitué. apporter ma petite contribution pour essayer de combler cette lacune même si je L'hypothèse d'un "Aramäische-arabische Mischsprache" ou "Mélange de Langue" semble être beaucoup plus une excuse commode pour l'interprétation autoritaire du texte Coranique.Comme on peut le constater, cette hypothèse mène à plusieurs problèmes, historiques et linguistiques, plus qu'elle prétend en résoudre. "au Publications Orientalistes de France, 1981. [71] J. Il a également pris part aux délibérations du prix Pierre-Antoine Bernheim de l’Académie des inscriptions et belles-lettres. La plupart de ce que nous savons dérive des écritures Syriaques postérieures, qui étaient, cependant, composées à un moment où la tradition Syriaque avait subi l'influence de la grammaire arabe, et avaient succédés en grande partie aux mécanismes conceptuels et terminologiques de cette tradition (Arabe). Zayd ; de Khalid al-Hadda': J'avais l'habitude de suivre un Mushaf (livre de Coran) d'Ibn Sirine qui a été pointillé » (54). La majeure partie, si ce nest pas le tout, du contexte socio-historique des origines de l'Islam peuvent être expliqués en considérant lenvironnement Nabatéen. « Ainsi a été conçu le système d'inscription d'Abou Al-Aswad ». Comme Mingana, Luxenberg n'a pas prêté attention au fait que les besoins des vocalisations de l'Arabe et du Syriaque sont fondamentalement différents. Il devient clair que la thèse de Luxenberg est déjà mise en défaut sur deux assertions, c-à-d, l'origine de l'alphabet arabe aussi bien que les points diacritiques pour différencier. La plupart de ce que nous connaissons à propos de la terminologie des premiers grammairiens en Syriaque (par exemple. offerte par Mingana était la similitude dans les noms des voyelles Syriaques et Arabes. La situation est d’autant plus curieuse que, dans la présentation canonique des lectures ou qirā’āt, Ibn Mas‘ūd figure à l’origine de plusieurs des chaînes de transmission. Elle explique sans doute le développement d’hypothèses nouvelles sur la genèse du Coran et sa mise par écrit qui n’ont pas ou très peu recours à ces données. La réflexion méthodologique sur l’utilisation du ḥadīth a été renouvelée en premier lieu par Gautier Juynboll qui, prenant en considération aussi bien l’isnād que le matn, a développé des analyses qui permettent d’apprécier plus précisément la valeur de ce matériel. Les marques diacritiques en Arabe étaient déjà connues avant l'arrivée de l'Islam et il est plus probable qu'elles soient issues de lécriture Nabatéenne. Donc, il n'est pas étonnant de constater que la notation Arabe des voyelles a pris un itinéraire complètement différent du celui du Syriaque. " 20. It will be obvious why the Aramaic inscriptions were found in the above mentioned Gulf States. Sur cette base, nous comptons affiner notre connaissance des écritures, de leur chronologie et de leur diffusion régionale ; nous pensons pouvoir cerner de plus près la façon dont étaient fabriqués les manuscrits et analyser leur enluminure ; enfin, nous espérons étudier en profondeur deux aspects fondamentaux du texte coranique, l’émergence des lectures (les qirā’āt) et la présence de variantes non retenues par la vulgate. 56. 1-14. 151-174; L. Nehmé, "Cinq Graffiti Nabatéens Du Sinaï", Semitica, 2000, Volume 50, pp. [59] F. Déroche and S. N. Noseda (eds. [35] B. Davidson, Syriac Reading Lessons: Consisting Of Copious Extracts From The Peschito Version Of The Old And New Testaments And The Crusade Of Richard I From The Chronicles Of Bar Hebraeus, 1851, Samuel Bagster And Sons: London, p. iii. The Syriac inscriptions in this monastery were discussed by J. C. McCullough, "Appendix I: Syriac Inscriptions", pp. Les premières inscriptions arabes telles que. Ce manuscrit est transcrit dans une écriture Hijazi, sans les voyelles et avec quelques rares points diacritiques (60). 1-Le site internet de l’islamologue Mehdi Azaiez : http://www.mehdi-azaiez.org/. 25Les plus anciens fragments coraniques conservés ne seraient donc postérieurs que d’un quart à un demi-siècle à cette date. [96] R. J. H. Gottheil (ed. For Momo (Pierre Boulanger), a young Jewish kid growing up in Paris in the early 1960s, life is pretty exciting. Abou Al-Aswad lui a indiqué : « Quand tu me vois prononcer une lettre, en réunissant mes lèvres (fa-dhammatu), mets un point avant la lettre ; si je réunis mes lèvres (fa-dhammatu) avec une nasalisation, mets deux points avant cette lettre. 7798; Also see A. Mingana, "An Ancient Syriac Translation Of The Kur'an Exhibiting New Verses And Variants", Bulletin Of The John Rylands Library Manchester, 1925, Volume IX, pp. 41. Ainsi ce premier travail de grammaire arabe était une tentative de décrire la structure de la langue et une réalisation précise des valeurs phonétiques des voyelles courtes. 18-19. Avant que Hunain ait composé son premier dictionnaire, il y avait déjà une activité lexicographique intense parmi les Arabes. Avant lavènement de l'Islam, le Grec est déjà devenu la langue prédominante de l'Asie occidentale. Le second récit, dit : « Khalaf Ibn Ibrahim a dit : Ahmad Al-Makki m'a indiqué : Al-Qasim m'a indiqué : Abd Al-Rahman Ibn Mahdi m'a indiqué de Hammad Ibn. Texte et transmission Department at Collège de France on Academia.edu 40. C.M.F. 2165 de la Bibliothèque Britannique de Londres. La diffusion géographique des inscriptions arabes préislamiques s'étendent du Zebed au cur même du pays de la langue Syriaque dans le Nord à Mada'in Saleh au Sud et d'Abou Darag (Egypte) à l'Ouest à enfin Sakakah à l'Est. [90] J. [88] J. le travail de l'Allemand Christoph Luxenberg sur la langue du Coran[8] ibid., p. 306. 512-522; J. 102-104; St. J. Simpson, "A Note On Qasr Serij", Iraq, 1994, Volume 56, pp. Ils ne doivent pas être déficients ou moins que la partie par laquelle un membre peut, si possible, être distingué des autres, qui est comme lui ; parce que cela est pareil à la profusion, qui a été observée, ne convient pas, également linsuffisance ne convient pas. recoupent les sources et sélectionnent ce qui parait plausible et écartent tout ce qui est légendaire. [80] J. C. L. Gibson, Textbook Of Syrian Semitic Inscriptions: Aramaic Inscriptions Including Inscriptions In The Dialect of Zenjirli (Volume II), 1975, Oxford At The Clarendon Press, pp. A Source Critical Study" and is available. What is interesting is that many of these idols also survived until the advent of Islam. En Arabe la situation est plutôt simple, puisque les lettres, " Cependant, le parcours que la notation des voyelles Arabes finalement pris, diffère considérablement de celui de l'araméen et de l'hébreu. (105). basé sur les règles d'appréhension de la rhétorique sémitique, mise en Le manuscrit arabe 328a (a) de la Bibliothèque Nationale de France, 1998, Fondazione Ferni Noja Noseda, Leda, and Bibliothèque Nationale de Paris. See E. C. D. Hunter, "A Syriac Ostracon From Ctesiphon", Al-Rafidan, 1997, Volume 18, p. Koweït, Dār al-Āthār al-Islamiyya (20 avril 2015), « Qur’anic manuscripts in Umayyad times ». 44-47 for discussion on the Greek vowels. 400-417; A. Abou Assaf, "Inscription Syrique - Au Musée De Ma'aret al-No'man", Annales Archeologiques Arabes Syriennes, 1990, Volume 40, pp. Some of these are obviously Nabataean deities. Texte et transmission », L’annuaire du Collège de France [En ligne], 115 | 2016, mis en ligne le 22 juin 2018, consulté le 10 février 2021. « Il nous a était à relaté qu'Ibn Sirine a possédé un Mushaf (livre de Coran) qui a été pointillé par Yahya Ibn Yamor (décédé 90H/708). Des conclusions semblables ont été également tirées par Nabia Abbott (22), Kees Versteegh (23) et Beatrice Gruendler (24). Nous comparerons également lécriture Arabe à lécriture Syriaque ainsi que son développement. cit., p. 16Le second thème narratif important de l’épisode de la mise par écrit sous le califat de ‘Uthmān se rapporte à la diffusion de la version que le calife a fait établir. 40 L’histoire du codex coranique à l’époque omeyyade frappe par la rapidité et l’importance des changements qui ont affecté le texte et sa présentation au cours d’une période extrêmement brève. Pour ce qui est des premières étapes (phases de développement) de la grammaire Syriaque, les informations la concernant sont rares. Ainsi l'arabe a établit une opposition cohérente et nette entre sa notation interne et externe des voyelles qui est, entre les valeurs de ses voyelles et ceux des signes de vocalisation respectifs
. Étude d’un corpus de manuscrits coraniques datables du viiie siècle J.-C. (7 mai 2015). Signes diacritiques et de voyelles Arabes à partir du Syriaque ? La fréquence des points diacritiques et des signes des voyelles est variable (dans les textes) et même dans des manuscrits écrits totalement avec des voyelles on peut trouver des textes dans lesquels les points diacritiques ont été omis, Il est étrange qu'un livre qui revendique le titre «, La lecture syro-araméenne du Coran Une contribution au déchiffrement du langage Coranique, The Syro-Aramaic Reading of the Qur'an - A Contribution to the Deciphering of Qur'anic Language. ) 13-14 and also p. Chaquun des membres devrait être convenable pour l'endroit, qui lui a été préparé et rendu commode par la nature
. Dr. Izzat Hasan attributes the vowel marks in Arabic due to Syriac influences. L'arrangement d'Abou Al-Aswad a démarqué les voyelles courtes ("a", "ou" et "i") et la nounation "Attanwin" ("an", "oun" et "in") ; comme prévu, aucune longue voyelle ("a:", "ou:" et "i:") na été abordée puisque l'orthographe arabe tient compte de cela. Il faut passer à autre chose. L'Arabe classique a pris naissance bien avant la période islamique. * vous pouvez également lire cette critique selon les règles académiques des travaux de Joseph Schacht "On the Common-Link theory" en suivant ce lien : http://digitool.library.mcgill.ca/R/?func=dbin-jump-full&object_id=102474&local_base=GEN01-MCG02. An inscription from uncertain date due to lacuna is from Deir Makr and was published by J. Naveh, "Syriac Miscellanea", Atiqot, 1976, Volume 11, pp. 141-158. Deuxièmement, en utilisant sa méthodologie heuristique, Luxenberg déduit que le "sabat ahruf du Coran relatés par le prophète sont reliés aux sept signes des voyelles Syriaques, le système d'écriture développé par Jacob d'Edessa. Parmi les langues sémitiques qui se servent des signes de vocalisation, l'arabe est le seul à indiquer dans son orthographe, tous les phonèmes des voyelles longues mais aucun des voyelles courtes. Les Perses et le Parthes sont l'exemple le plus clair ainsi que les souverains indiens qui ont également utilisés lécriture Araméenne. Certes, on connaît des manuscrits qui sont réputés être le « coran de ‘Uthmān » et pourraient donc, en bonne logique, nous fournir une information directe sur le texte au moment même de sa fixation. I, 1992, Oxford University Press, p. En plus de ces notes, j'attire l'attention sur la «Lettre ouverte au Dr Puin » publiée par l'imam Ahmed Anas , l’auteur du site de la maison de l’islam qui mérité d'être consultée. [104] H. Motzki, "The Musannaf Of Abd al-Razzaq Al-Sanani As A Source of Authentic Ahadith of The First Century A.H.", Journal Of Near Eastern Studies, 1991, Volume 50, pp. Motzki reconnaît d’ailleurs qu’il est possible de considérer qu’il a inventé les deux traditions, relatives l’une à Abū Bakr et l’autre à ‘Uthmān, et qu’il les a ensuite enseignées aux différents personnages qui apparaissent comme ses transmetteurs directs. ), The Excavations At Dura-Europos Conducted By Yale University And The French Academy Of Inscriptions And Letters: Preliminary Report Of Third Season Of Work, 1932, Yale University Press: New Haven & Oxford University Press, pp. cit., p. 16; F. Déroche, The Abbasid Tradition: Qur'ans Of The 8th To The 10th Centuries AD, op. Cependant, l'utilisation des noms des voyelles (syriaques) sont apparus au XIIIème siècle dans les écritures de, (décédé 1286). 42Berlin, Staatsbibliothek (19 février 2015), conférence inaugurale du colloque « Studies on Johann Gottfried Wetzstein (1815-1905) : Manuscripts, Politics and Oriental Studies ». D’un autre côté, il est vrai que, de manière progressive, les savants musulmans médiévaux se sont accordés à donner une plus grande importance à l’un des récits, celui qui attribuait au calife ‘Uthmān le mérite d’avoir donné à la communauté musulmane un texte sur lequel elle pouvait se retrouver. [75] J. F. Healey, "Were The Nabataeans Arabs? Mais elles devaient être appliquées seulement en ce traité pour illustrer les formes morphologiques dans le Syriaque ; elles ne sont pas prévues pour être un dispositif permanent de la langue. L’auteur se sert aussi de Goldziher sur l’intervalle qui sépare l’époque du Prophète des plus anciennes sources comme Tabaqat Ibn Sa’ad (229H/844) et Sahaih Al Bukhari(256H/870). See pp. 255-71. Cela donne toutefois plus de poids au scénario classique que l’on retrouve en définitive dans les œuvres des savants qui estiment qu’il est possible de reconstituer l’histoire de la mise par écrit en suivant les sources traditionnelles. En ce qui concerne la langue arabe, Mingana appelle à lignorer complètement. « Et même si Nous avions fait descendre sur toi (Mohammed) un. La preuve se trouve même dans. Selon Wansbrough, les Arabes n’avaient pas établi une nouvelle religion propre à eux au moment où ils sortaient de l’Arabie pour conquérir d’autres pays. Comme dans la sourate 23, le sens du segment ajouté est neutre. Il prétend que le système Arabe des voyelles, a été établi après le modèle du système de vocalisation proto-syro-araméen, pour la désignation des courtes voyelles "a", "ou" et "i" par des points. 1), pp. 3, pp. Il est à Die Lapidarschrift, op cit., p. 13 as well as 17-21. Mais le désir de faire pareil pour le Syriaque avait été empêchée par la crainte de « détruire toutes les Ecritures Saintes qui avait été écrites jusquà cette période dans cette imparfaite écriture de la langue Syriaque ». Une telle preuve sur la page de couverture du livre aurait convenablement assorti le titre provocateur. Ces versions ont certes été progressivement écartées, mais des échos amoindris de la circulation de codices non-canoniques nous parviennent jusqu’à une date relativement tardive – des témoins signalant que la version d’Ibn Mas‘ūd était encore en circulation au xe siècle. Seulement vers la fin de cette période quà commencé à apparaître les signes qui ont dénoté les voyelles "e" et "a" ; avant ce développement, aucun signe spécifique n'a été utilisé pour les diverses voyelles (40). À la fin du IXème siècle, Zacharie de Merv (identifié à Abou Yahya al-Marwazi) l'a complétée en ajoutant d'autres entrées, mais c'était un travail confus. Se Basant sur la similitude entre le MS Arabe 328a et MS Or. Trouve-moi un scribe qui soit intelligent et obéissant à ce que je lui dis. Abou Al-Aswad Al-Douali était l'inventeur des voyelles aussi bien que leurs noms liés à leurs articulations. Le Dr. Puin reconnaît lui-même que s’il est possible de s’apercevoir qu’il y avait un texte initial en dessous et que celui-ci a été effacé, il est “impossible de déchiffrer” ce texte effacé. He says:Der Koran hat insoweit seine Sprache nicht fur jene Araber bestimmt, die sich rund anderthalb Jahrhunderte danach eine andere arabische Sprache zurechtgelegt haben. Click here to see the information about the Achaemenids and a map showing the area ruled by them. 6-7; Also see K. Versteegh, The Arabic Language, op cit., p. Il répond que d'autres avaient déjà considéré la même chose. Mingana et Luxenberg ont prétendu que puisque Mohammed (s) (ou les premiers scribes ?) 116. La conquête du Proche-Orient par Alexandre le Grand a ouvert la voie à la langue et à la culture Grecque, la pénétration de lhellénisme dans toutes les villes et à la campagne était irréversible. Ainsi l'arabe a établit une opposition cohérente et nette entre sa notation interne et externe des voyelles qui est, entre les valeurs de ses voyelles et ceux des signes de vocalisation respectifs
. Dans ce cas se pose la question de savoir si nous parlons effectivement d’un codex, ce d’autant plus que, dans quelques cas, on peut se demander si la personne avait la capacité de mener à bien une mise par écrit. 6-Le livre d’Edouard Marie GALLEZ « Le Messie et son Prophète » tome 2, aux éditions de Paris, ce livre présente une synthèse des travaux antérieurs. [58] C. Luxenberg, Die syro-aramäische Lesart des Koran: Ein Beitrag zur Entschlüsselung der Koransprache, op cit., p. II; An image of this manuscript is produced by Déroche along with the dating it to second half of the first century of hijra. Les chemins de la canonisation du Coran, http://www.college-de-france.fr/site/francois-deroche/course-2014-2015.htm, http://www.college-de-france.fr/site/francois-deroche/symposium-2014-2015.htm, Le Collège de France. Dans sa fameuse lettre à George de Sarug, Jacob reproche aux copistes de son temps leur ignorance et inattention : « J'interdis à tout ceux, qui peuvent copier les livres, que j'ai traduits ou composés, de changer par leur propre initiative nimporte quoi de ce qu'elles se sont engagées à copier, aussi bien en écriture quen points, quoi qu'elles peuvent trouver ; si même une erreur manifeste a été trouvée, toute personne est soumise à lerreur, nous-mêmes, les scribes, ceux qui ont reçu le livre de notre part, ceux qui comparent une copie à une autre copie, l'il du lecteur qui erre et dévie de la vision correcte
. [40] J. Eine erste Bezeichnung der Kurzvokale a, u und i durch Punkte, ebenfalls nach dem Vorbild des früheren syro-aramäischen Vokalisations-systems - wonach die vokalhellere Aussprache (a) durch einen Punkt über, die vokaldunklere Aussprache (e/i) durch einen Punkt unter dem Konsonanten angedeutet wird, denen im Arabischen ein mittlerer Punkt zur Bezeichnung des u hinzugefügt wurde -, soll unter Abd al-Malik ibn Marwan (685-705) als erste Lesehilfe eingeführt worden sein.For the ahruf please see full discussion in pp. 38. Elles sont toutes représentées par un point coloré simple dans la figure ci-dessus. Les points diacritiques différencient les graphèmes ou les lettres qui se partageant la même squelette tel que le. Comme exprimé ironiquement par Renan « la caractéristique littéraire principale du Syriaque est la médiocrité, et la principale revendication de renommée des Syriens est qu'ils ont passé le savoir des Grecs aux Arabes »(97). Mais c'est la beauté de la nature qui ne contient ni profusion, ni défaut. Encore et en plus, discréditant la thèse de Luxenberg, une étude récente sur ce manuscrit Hijazi a conclu quil avait été écrit dans le qira'at (lecture) dIbn `Amir (décédé 118H/736), une des lectures qui sera plus tard considérée de manière indiscutable comme "Moutawatira" par Ibn Moujahid (décédé 324H/926) (61). occultant leurs contradicteurs et/ou d’autres chercheurs qui ne sont pas du Mehr, so möchte man meinen, brauchte man auch anfangs nicht, da zuverlässige Lektoren (.. qurra) die Verkündigung des Koran unmittelbar vom Propheten vernommen und auswendig gelernt haben sollen. D'ailleurs, une stèle de Tayma au nord de lArabie Saoudite gravée avec lécriture Araméenne suggère que l'araméen ait été très important au Hedjaz dès les IVème/Vème siècles AJC.