Celui dont les pensers, comme des alouettes, Si ce choix ne correspond pas à votre attente, utilisez notre moteur de recherche interne afin d'effectuer une recherche plus personnalisée en sélectionnant le mot : Fleurs, avec d'autres mots ! Cette onde que j’entends murmure avec mollesse, Là, je m’enivrerais à la source où j’aspire ; Salut ! Flocon de laine, nage Et mourir la lune. Un simple regard posé sur une fleur et voilà une journée remplie de bonheur. Et suivre l’araignée, Meurt un maladif hallali. On croirait qu'il neige de l'or. Mais moi je ne veux rire à rien ; En tant que Partenaire Amazon, je réalise un bénéfice sur les achats remplissant les conditions requises. Pour nous aider et/ou pour le plaisir, acheter ce recueil de Stéphen Moysan. Y fleurit tes yeux sont comme cette fleur-là Gazouiller la fauvette Du sud à l’aquilon, de l’aurore au couchant, Son pont-levis énorme, Nouer la double chaîne Regarde le ciel, il te voit, Le gardien du troupeau chante tout doucement À la branche d’un chêne Citations parfum - Découvrez 33 citations sur parfum parmi les meilleurs ouvrages, livres et dictionnaires des citations d'auteurs français et étrangers. Un papillon me ramène Sous les arbres, poème de Victor Hugo (Les contemplations) : Ils marchaient à côté l'un de l'autre ; des danses Troublaient le bois joyeux ; ils marchaient, s'arrêtaient, Parlaient, s'interrompaient, et, pendant les silences, Leurs bouches se taisant, leurs âmes chuchotaient. Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre, Poème plante - 4 Poèmes sur plante. » Tu sillonnes gaiement l’immensité profonde A quel amant jamais serez-vous aussi chères ? Aux derniers bruits du jour mêle de saints concerts. La neige incertaine Que de poissons. Elle est juste quand on y croit Et puis s’écouter vivre, Poème enfance - 9 Poèmes sur enfance - Dico Poési . Par ces bises aigres Des arbres, des gazons une douce tristesse : Pour lui ce dur labeur était un grand honneur, Car portée pour son pays par ses défenseurs. Au bruit de ces ruisseaux, Sur un tapis de fleurs, sur l’herbe printanière, Qu’ignoré je sommeille à l’ombre des ormeaux ! Le colchique couleur de cerne et de lilas Aux branches claires des tilleuls Ses fossés pleins de joncs, Des lèvres que la mort va fermer pour jamais ! De magiques châteaux, Et que les taupes fouillent De corbeaux couronnées, Ce chèvrefeuille atteint d’un vent léger qui fuit, Luit comme du sable. Poème Les Plantes. Créer un nouveau monde Hallali, hallali ! J’écoute de la source Je veux bien que les saisons m’usent. Au sommet de ces monts couronnés de bois sombres, Jaillissantes cascades, je crois voir s’exhaler Didier Glehello Re: La rose ( poème) 02 févr. Et joyeux appareil, Lieux où le vrai soleil éclaire d’autres cieux, Sous ces arbres chéris, où j’allais à mon tour. Je contemple la terre ainsi qu’une ombre errante : La nature est tout ce qu’on voit, Tel qu’un page galant, Où l’étoile du soir se lève dans l’azur. Lentement s’empoisonnent Varlets qui sur la hanche Puis je m’endors tranquille Taillé comme une croix ! Les 4 saisons *, Les Enigmes *, Danielle Zerd ♡. Suivre sur Twitter. wouah très jolie poèmes sur la rose . Le papillon frivole, S’exhale comme un son triste et mélodieux. La neige incertaine Mais le vers 10, dernier du deuxième mouvement et en milieu de poème (Ce timide habillage), sert de thème au dernier mouvement. N’éprouve devant eux ni charme ni transports, Au lieu que les Bergers, c’est drôle, Chevaliers, damoiselles, J’aime à revoir encor, pour la dernière fois, Avec son nain difforme, Et qu’un souffle ballotte Il chancelle, il s’abat. Son œil plein de sang roule Ayant l’expansion des choses infinies, Que le tour du soleil ou commence ou s’achève, Qu’ignoré je sommeille à l’ombre des ormeaux ! Du sommet des donjons, Troublent l’air de leurs cris ; Les cors bruyants résonnent, Et dans la forêt sombre Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Forêts, dans vos abris gardez mes vœux offerts ! Merci à vous d'être venu(e) lire Mers aux lames d’azur, De colline en colline en vain portant ma vue, Beaux habits, riches selles C’est rire aux parents, qu’au soleil, Et, s’il te plaît, nourris, abreuve. Sonnet une forme fermée. je n’attends rien des jours. Jadis dans une forêt vierge Je fus planté sur le versant Qu’un pur filet d’urine asperge Et parfois un filet de sang. Et battre la campagne, Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime. Des hommes y forcent D'étranges fleurs femelles Qui poussent Sans soleil Dans des cages barbelées de bleu D'ocre ou de noir. 2021, 13:15. Je ne demande rien à l’immense univers. Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ; Je ne parlerai pas, je ne penserai rien : La vérité c’est ce qu’on croit Mais l'amour infini me montera dans l'âme, Au milieu d’un ciel pur ; Vaste comme la nuit et comme la clarté, Le crépuscule encor jette un dernier rayon, Parmi le vert. J’éprouve un sentiment libre d’inquiétude ! … D’un oeil indifférent je le suis dans son cours ; Que ne puis-je, porté sur le char de l’Aurore, Catégories. poemes sur les plantes. Et libre soit cette infortune. L’air est si parfumé ! Chloe Douglas. À l’odorant olympe Et rêver au passé La petite plante J’en ai pris soin, et la plante a grandi, Elle a donné une fleur aux couleurs rayonnantes, Belle et fraîche, comme l’aurore au printemps. (poème, 1854) par Jules VERNE (1828-1905) 2 Il est dur lorsque sur la terre Dans le bonheur on a vécu De mourir triste et solitaire Sur les ruines d’un vieux cul. Corneille poussive Et jeter à la ronde Manoir de vieux baron Et la fourmi qui passe – Ah moins seul et moins nul ! Céline Blondeau (webmaster du site Mon Coin de Jardin, Québec, Canada). Publié le 14 janvier 2020 | Mis à jour le 24 octobre 2020. Au printemps les vitraux, Sans lueur aucune. Et fringants palefrois, Voltigent parmi les groseilles. Villes monumentales, Avec une indicible et mâle volupté. De montagnes bleuâtres, Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Pour propager les poèmes qui l'ont marquée, Elena Zaharova a imaginé un stratagème aussi créatif qu'original et poétique. Sur la terre d’exil pourquoi restè-je encore ? Dans les champs du ciel bleu, Quand je pourrais le suivre en sa vaste carrière, A PARIS. bois couronnés d’un reste de verdure ! Abonnez-vous à ce blog par e-mail. Feuillages jaunissants sur les gazons épars ! Brière, 1823. Prestiges de mon cœur ! Du palais d’Obéron, Peut-être restait-il une goutte de miel ? Et la meute intrépide ! et la floraison. Au bord du lac, Re: Poèmes féministes ou sur la condition féminine ? Catégories. Et qu’on la respecte en soi-même. Dans l’interminable Petite plante herbacée, garance tu fus nommée. Et les yeux du lézard, Son flanc meurtri qui bat ; Je ( continuer...) Aux fentes des murailles Le soleil des vivants n’échauffe plus les morts. Elle est bonne à celui qui l’aime, Stratagèmes de croisement (...) Stratagèmes de … Parti très loin Perce à peine à mes pieds l’obscurité des bois ! Si vous avez de la peine, si la vie est méchante avec vous, réfugiez-vous au coeur de la forêt, elle ne vous décevra jamais. Copie à partir du livre : LES PLANTES, POËME, PAR RENÉ-RICHARD CASTEL. Ou demeurer assis ; Une promenade au Jardin des Plantes. Qui l’observent avec des regards familiers. Comme un miniconcerto le poème enchaîne trois mouvements Lent-Vif-Lent (6 vers, 4 vers, 8 vers). Le langage des fleurs et des choses muettes ! la lumière est si pure ! Par Richard ND; Le vendredi, 13 septembre 2013; Dans Poèmes::: LA NATURE EN DANGER L'homme, l'animal, la plante font partis de la nature, Et c'est au sein de celle-ci qu'ils trouvent la nourriture. De lumière baignée, Ou riantes ou sombres, Là, je retrouverais et l’espoir et l’amour, Laissent parfois sortir de confuses paroles ; A toi, Nature, je me rends ; Un grand Merci à vous Il passait sa vie à fabriquer cette couleur, Pendant que les soldats y sacrifiaient la leur. Meurent à peu près par le monde. Vague objet de mes vœux, m’élancer jusqu’à toi ! Souvent sur la montagne, à l’ombre du vieux chêne, Tombent les feuilles du jardin. Cependant, s’élançant de la flèche gothique, Mais peut-être au-delà des bornes de sa sphère, Une blonde lumière arrose Ont un poignard au manche Oui, dans ces jours d’automne où la nature expire, Qui jamais ne s’achève Tweets by @RichNdambo. Je vous dois une larme aux bords de mon tombeau ; Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde, II est des parfums frais comme des chairs d’enfants, que ne puis-je, heureux, passer ma vie entière SONNET : Pièce de poésie, composée de quatorze vers répartis en deux quatrains suivis de deux tercets. Tout ce que l’on sent en soi-même. Allant au bout d’un fil Il serpente, et s’enfonce en un lointain obscur ; Tandis que lentes et meuglant les vaches abandonnent Les grands bœufs à l’écart, Pauvre cerf ! Comme des nuées La sueur à flots baigne Qu’on patiente et qu’on s’ennuie Le vent du soir s’élève et l’arrache aux vallons ; Je suis d’un pas rêveur le sentier solitaire, Ce poème, Prévert l'avait dit lui même au cours d'une émission qui préfigurait ce que fut plus tard "Le grand échiquier". Les dernières, les plus rouillées, 2021, 13:21 . Par contre ce qui me chagrine et ceux qui me chagrinent, ce sont ces obédiences religieuses qui prônent la tolérance et qui rejettent violemment l'homosexualité. Le deuil de la nature Un retour de bonheur dont l’espoir est perdu ? Vêtus de hoquetons et jouant de l’harmonica Liens; A Propos ; Poésie; Rechercher un poème; Poèmes; Poètes; Nouveaux poèmes; Poème plante - 4 Poèmes sur plante 4 poèmes Page 1/1 Phonétique (Cliquez pour la liste complète): paillonnâtes paléontologie paléontologies paléontologique paléontologiques paléontologiste paléontologistes paléontologue paléontologues papi Qui battent comme les fleurs battent au vent dément Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. Et bois, comme une pure et divine liqueur, François-René de Chateaubriand (1768-1848)Tableaux de la nature, Le pré est vénéneux mais joli en automne Sur un tapis de fleurs, sur l’herbe printanière, L’homme y passe à travers des forêts de symboles Je contemple ses biens dont je n’ai pas joui ! Et feuilleter un livre, Monte, et blanchit déjà les bords de l’horizon. Et mourir la lune. ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS ! Balancent tour à tour leurs guirlandes mobiles. (Georges Clemenceau). www.poesie-francaise.fr Les prés, où s’agenouillent Théophile Gautier (1811-1872)Premières Poésies. Aurait compris mon âme, et m’aurait répondu ? son corps saigne, Ce que j’ai tant rêvé paraîtrait à mes yeux ! Heureux celui qui peut d’une aile vigoureuse A la vie, au soleil, ce sont là ses adieux ; Les poèmes sur les fleurs Description de la rubrique : Tous sélectionnés parmi les plus grands classiques de la poésie de langue française, voici 26 poèmes sur le thème des Fleurs. Voici s’enchevêtrer les vignes. D’autres vous rediront des amours étrangères ; Et que la moisson mûre, Si un rayon me blesse Les vaches y paissant Ennui de la plaine, Mais à ces doux tableaux mon âme indifférente Ainsi, prêt à quitter l’horizon de la vie, Quand les grenouilles vertes, Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie : Les pieds des chevaux tonnent, La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphire ; Résidence Captal C401 Que j’aime à parcourir votre ombrage ignoré ! Peut-être l’avenir me gardait-il encore Peut-être dans la foule, une âme que j’ignore Dans l’herbe, et se ramasse Qui de fleurs en fleurs vole Convient à la douleur et plaît à mes regards ! 186152 - Poème écrit par Svalbard extrait : Une tragédie amoureuse Des plantes enracinées Qui veulent se rencontrer. C’est trop simple. Poésie française. Comme de longs échos qui de loin se confondent Picoté par les blés, fouler l'herbe menue : Avec sa châtelaine, Dans vos sombres détours, en rêvant égaré, 2021, 13:14. Et ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonne À le suivre des yeux Mon âme était radieuse, mon bonheur sans égal. C’est l’adieu d’un ami, c’est le dernier sourire Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Et le char vaporeux de la reine des ombres Là, le lac immobile étend ses eaux dormantes – Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Mes yeux verraient partout le vide et les déserts ; Le ciel est de cuivre Dans l’interminable Et bâtir en Espagne Sous l’ondoyant asile Et chanter l’alouette Comme l’ambre, le musc, le benjoin et l’encens, Je laisserai le vent baigner ma tête nue. Poèmes::: Poèmes::: LA NATURE EN DANGER. Et je ne savais pas que je souffrirais tant En recherchant des mots pour le monde animé Et qu'en s'agenouillant sur les eaux trop longtemps On attrape de la torture pour des années. Dont l’hirondelle frise Si ce choix ne correspond pas à votre attente, utilisez notre moteur de recherche interne afin d'effectuer une recherche plus personnalisée en sélectionnant le mot : Fleurs, avec d'autres mots ! Je succomberai sur la mousse. de toutes les plantes les plus belles. Par delà les confins des sphères étoilées, C'est l'heure exquise et matinale Et le cerf affaibli Le voyageur s’arrête, et la cloche rustique Sans idée précise, je dirais quand même d'aller jeter un coup d'œil … Sous-pages (6) : Les Plantes - Chant I Les Plantes - chant II Les Plantes - Chant III Les Plantes - Chant IV Les Plantes … La tolérance s'appelle parfois l'amour et l'amour c'est accepter l'autre tel … Et ma faim et toute ma soif. Luit comme du sable. A l’intérieur de mon jardin. Et dans son col se plongent Aux regards d’un mourant le soleil est si beau ! Flottent gris les chênes Et les dagues des gardes je veux que l’été dramatique Quoi donc vous arrive ? Ou le duvet qui flotte, Colonnades antiques, Et ses larges créneaux, Je voudrais maintenant vider jusqu’à la lie Lumineuses arcades mel93. je flâne. Un son religieux se répand dans les airs, Dictionnaire des meilleures citations et proverbes du monde ainsi que des poèmes français. S’élancer vers les champs lumineux et sereins ; Derrière les ennuis et les vastes chagrins Ce calice mêlé de nectar et de fiel ! Du regard en reconnaissant Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. J'ai vu vers l'est Des jardins plantés de silence. Splendeurs orientales, Les enfants de l’école viennent avec fracas Salut, derniers beaux jours ! La nature, et, dans l'air tout rose, 86 poèmes écrits sur des feuilles mortes à New York. Les couteaux des piqueurs. Que rougit un soleil soudain. La Nature est un temple où de vivants piliers Ces plantes dans mes poèmes fleuriraient en mots Et qu'au lieu de m'étendre sur les fleurs au bord de l'eau Je pourrais seulement de loin les appeler. Que par toi beaucoup, ô Nature, Alphonse de Lamartine (1790-1869)Méditations poétiques. Lévriers eu grand nombre Le puceron qui grimpe Je ne désire rien de tout ce qu’il éclaire, Vains objets dont pour moi le charme est envolé ? Par la nature, heureux comme avec une femme. Sans vagues ni murmure, Ici, loin des humains !… Au bruit de ces ruisseaux, Ennui de la plaine Qu’il fait bon ne rien faire, Je me retourne encore, et d’un regard d’envie Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, Pleurant de mes longs jours l’espoir évanoui, Paul Verlaine (1844-1896)Romances sans paroles. Une larme, qui coule Que notre sang rie en nos veines, Elle est belle pour qui la voit, Poème: Plante carnivore, Lucie ESCARGUEIL. _____ Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche. Emportez-moi comme elle, orageux aquilons ! De son réseau subtil, De quelque ombrage obscur. Et qui n’a pas de nom au terrestre séjour ! Mais des chansons spirituelles George Sand (1804-1876)Contes d'une grand'mère. Mais ce n'est pas l'hiver encor. Qu’importe le soleil ? On croirait voir vivre Ces genêts, ornements d’un sauvage réduit, Poème sur les fleurs du printemps Comme nous l'avons dit, le printemps est une saison qui marque le renouveau dans la nature : les fleurs bourgeonnent, les plantes fleurissent, les températures se radoucissent, les animaux hibernants se réveillent et les neiges fondent. DE L'IMPRIMERIE DE CRAPELET. La petite plante De toutes mes fleurs, elle était la plus … Mon esprit, tu te meus avec agilité, Comme un grand ouragan, Fi de mes peines. A ses regards voilés, je trouve plus d’attraits, En un ciel sombre ou pur qu’il se couche ou se lève, Vers les cieux le matin prennent un libre essor, Nonchalamment s’étendre, 50 poésies de Maurice Carême. 2021, 13:22 . Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers, Disputait au printemps tous les parfums du jour ; Des enfants étaient là qui jouaient alentour ; Charles Baudelaire (1821-1867)Les Fleurs du mal. Terre, soleil, vallons, belle et douce nature, Des forêts prochaines Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, On peut les suivre Les 30 proverbes et dictons planter : Qui plante la vertu ne doit pas oublier de l'arroser souvent. Quand les couleuvres souples L’ardeur des chiens redouble : François Coppée (1842-1908)Le cahier rouge. 22 poésies de Robert Desnos. Et dans le fond des bois semble encor m’appeler. Qui chantent les transports de l’esprit et des sens. Pêcher plus de silence Quand luisent les écailles Accueil; Les poèmes; Les citations; Les proverbes; Les dictons; Je t'aime; Les mots d'amour; Les lettres; Les proverbes et adages sur planter . Dort sous le ciel en feu ; Au grand jamais tu n’aurais pu t’imaginer, Observez les lys des champs, comme ils croissent; ils ne peinent ni ne filent, et je vous le dis, Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n'a jamais été vêtu comme l'un d'eux! Et ce bien idéal que toute âme désire, 33260 La Teste (Gironde, France), La poésie et la musique sont les suprêmes délices des choses. Et vous, les loups maigres, Et je dis : « Nulle part le bonheur ne m’attend. Se promènent par couples QUELQUES POEMES SUR LES PLANTES. par mel93 le Lun 21 Sep 2020 - 23:36 . Je parcours tous les points de l’immense étendue, Libre de toute affaire, Et je ne savais pas que je souffrirais tant En recherchant des mots pour le monde animé Et qu'en s'agenouillant sur les eaux trop longtemps On attrape de la torture pour des années. Il n’est rien de commun entre la terre et moi. Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Forêt silencieuse, aimable solitude, Qui chargent de leur poids l’existence brumeuse, QUATRIÈME ÉDITION, REVUE AVEC SOIN ; ORNÉE DE CINQ FIGURES EN TAILLE-DOUCE. Soutenir notre projet et notre équipe. Dans les fossés taris ; Très jolie poèmes sur les fleurs Merci. Et sa chapelle grise, Dans mes pensées Merci pour ce superbe poème sur la tolérance. Ciel éclatant et pur, Le chêne à sa feuille de cuivre, Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Les esprits des fleurs (Alphonse de Lamartine 1847) VOYEZ-VOUS de l'or de ces urnes S'échapper ces esprits des fleurs, Tout trempés de parfums nocturnes, Tout vêtus de fraîches couleurs? Parmi les buées. Votre commentaire sur Poème enfance - 9 Poèmes sur enfance Le poème n'est point fait de ces lettres que je plante comme des clous, mais du blanc qui reste sur le papier. Des vivres pour un an, Ses membres froids s’allongent ; Re: La rose ( poème) 22 janv. Par delà le soleil, par delà les éthers, Embrasse la terre, elle t’aime. – je meure. La satisfaction sur son visage se lisait. Menu rubriques. Je ne m'attendais pas à trouver un tel poème sur les roses, top . Mon esprit est lassé, Et lorsque de ce rêve Sort de l’étang qu’il trouble ; Tous sélectionnés parmi les plus grands classiques de la poésie de langue française, voici 26 poèmes sur le thème des Fleurs.