« La connaissance de Vermeer de l'art italien était suffisamment large pour qu'il soit appelé, en 1672, comme expert pour aider à régler un différend quant à l'authenticité d'un ensemble de peintures censées être de la main de Titien, Michel-Ange, Giorgione, Raphaël et d'autres maîtres. [pic 1] La Jeune Fille à la perle est une peinture à l'huile sur toile réalisée par le peintre néerlandais Johannes Vermeer vers 1665. Ainsi, les lignes de contours s'estompent dans des transitions subtiles entre le visage éclairé et l'ombre de l'arrière-plan, notamment au niveau de la ligne des cils de l'œil droit[42]. La jeune femme semble porter une veste épaisse avec peu de plis. « Le turban de la jeune fille a d'abord été peint avec un mélange opaque de céruse et de bleu outremer. Enfin, l'entreprise Bic a demandé à un artiste de la reproduire lors d'un concours artistique afin de promouvoir ses stylos à bille[157]. Il ne s’agit pas du titre originel pourtant, et fut ainsi nommé à la fin du 20ème siècle ; le … Sauf mention contraire, ces informations proviennent de Janson 2014. Or, dans La Jeune Fille à la perle, le peintre accentue tout particulièrement cet effet : pour cela, il souligne l'axe vertical de rotation en jouant sur l'ombre qui descend de la tempe gauche du modèle jusqu'à son torse[70]. ». », L'idée est notamment développée dans « Vermeer et la chambre noire », Appendice A de, « Il y a quelque 50 ans, Gowing note qu'une photographie aux rayons X du visage de la jeune fille à la perle permet de suggérer l'utilisation d'une. (?) La pose « regard par-dessus l'épaule » peut être un emprunt au Portrait d'homme (dit l'Arioste) du Titien, peint 150 ans plus tôt. It is not a portrait, but a ‘tronie’ — a painting of an imaginary figure. ». « Les maigres certitudes que l'on a sur sa biographie ont été glanées dans une poignée de documents juridiques. Même si ce motif demeure peu utilisé dans les portraits néerlandais de cette époque[125], il se peut que Vermeer ait eu à l'esprit L'Homme au turban rouge, autoportrait présumé de Jan van Eyck peint en 1433[126], ou bien les œuvres de deux de ses contemporains, L'Autoportrait en costume oriental peint par Rembrandt trente ans plus tôt, en 1631, ou bien, plus proche encore, Le Jeune Homme au turban tenant un bouquet de Michael Sweerts, peint vers 1661[60]. L'éclairage, et surtout le contraste entre la noirceur de l'arrière-plan et la clarté de la carnation du visage[73], ainsi que l'estompage des contours que cela implique, produisent un « état diffus d'émergence »[74] du visage du personnage, que rehausse la clarté du turban et du col blanc du vêtement[75]. un jeu d’ombres élaboré qui trouve son point d’orgue dans le reflet scintillant de la perle. ». Pourtant, elle demeure un symbole ambigu[136] qui peut perdre, en tant que bijou, de son caractère pur pour renvoyer à « la vanité des choses humaines et des désirs »[137]. Dans cette république constituant alors une puissance commerciale de premier plan en Europe et dans le monde, les citoyens forment une société bourgeoise où l'art constitue non seulement un marqueur social, mais aussi un placement financier, au même titre que l'immobilier par exemple[29]. — Hans Koning, écrivain et journaliste hollandais. This young woman seems to be wearing a glass "drop earring" which has been varnished to look like an immense pearl. Ce choix est tout à fait inhabituel chez Vermeer[97], accoutumé aux scènes d'intérieur où le personnage se détache devant un mur clair, à dominantes blanches, comme dans La Laitière (1658-1661) ou La Dame au collier de perles (1664)[98]. « L'un de ses protecteurs était Hendrick van Buyten, un boulanger auquel l'aristocrate français Balthazar de Monconys avait rendu visite en 1663 au cours de son séjour à Delft. De nos jours, le tableau, le plus populaire de Vermeer, est tenu pour un des chefs-d'œuvre du peintre en raison de sa composition et de l'atmosphère qu'il dégage. La Femme à la balance, vers 1662-1665, National Gallery of Art, Washington. Pour d'autres, il pourrait s'agir d'Élisabeth (Lijsbeth), la deuxième fille de Vermeer, certes plus jeune, mais, selon la date à laquelle on considère que l'œuvre a été peinte, possiblement âgée de 10 ans[50]. C'est en référence à cet attribut exotique que l'œuvre a d'abord été désignée comme La Jeune Fille au turban[4]. », « Par souci d'enrichir certains effets de matière dans [la, « Il juxtapose aussi des couleurs vives non complètement mélangées, à la manière impressionniste […] », « Sur un fond neutre, sombre, tirant sur le noir, qui rend possible un fort effet de contraste plastique… », the only picture with a comparable background is, « Sur un fond uniformément sombre (habituellement l'artiste se sert de fonds à dominante de blanc), le visage lumineux de la, « Le glacis vert était composé de trois pigments : l'indigo (un colorant naturel tiré de l'indigotier) et la gaude (un colorant naturel issu des fleurs jaunes du réséda, souvent employé pour teindre les vêtements à l'époque de Vermeer). Ce tableau a eu des répercussions au XXème et XXIème siècle d'autant plus qu’il a inspiré un roman devenu best-seller. « Puisqu'on sait que Vermeer a continué à utiliser généreusement ce pigment même dans les dernières années de sa vie, alors qu'il connaissait une situation financière de plus en plus mauvaise dans le contexte de la guerre avec la France, il est probable que son riche mécène Delft Pieter van Ruijven en ait lui-même assumé le coût. Voir plus d'idées sur le thème jeune fille, histoire de l'art, johannes vermeer. De même, et en dépit de la présence de la célèbre Leçon d'anatomie du docteur Tulp de Rembrandt ou de la non moins réputée Vue de Delft de Vermeer, la toile constitue l'argument essentiel des sites de tourisme pour inciter à la visite du Mauritshuis[148]. ». Avant de commencer à écrire, elle était éditeur de livre. Le turban était déjà un accessoire populaire à la mode dans l'Europe du. », « Le tableau est construit sur la diagonale ascendante. Le vieux vernis jauni est alors enlevé et remplacé, rendant aux couleurs leur éclat d'origine[25]. L'esthétique ne peut pas être mesurée, étiquetée ni cataloguée. Les effets de réel, qui font d'abord penser à une représentation fidèle de l'individualité du modèle, restent des leurres[76]. Trading vessels often brought fascinated news and relics to Delft from around the world. ». ». ». C'est ce que montre notamment le témoignage de la veuve du peintre qui attribue entre autres le décès de son mari à son incapacité à subvenir à leurs besoins : « Pour cette raison et à cause des grandes dépenses occasionnées par les enfants, pour lesquelles il ne disposait plus de moyens personnels, il fut si affligé et s’affaiblit tellement qu’il en perdit la santé et mourut en l’espace d’un jour ou un jour et demi. La Jeune fille à la perle », « […] elle regarde par-dessus son épaule, mais son visage est presque de face. Le remboursement de votre article La Jeune Fille A La Perle s'effectue automatiquement sur votre compte Rakuten, sous forme de Rakuten Points. Son beau-père l’aurait vendu aux enchères à Amsterdam le 16 mai 1696 lors de la succession de l’imprimeur de Delft, Jacob Dissius. Ce point brillant est composé de deux petites taches rose pâle de peinture posées l'un sur l'autre. Toujours est-il que la comparaison des deux jeunes filles tourne sans hésitation à l'avantage de La Jeune Fille à la perle[86],[Note 5], à l'aspect innocent, au regard doux et à la bouche pulpeuse évoquant l'attrait de la jeunesse, voire, tout simplement, la beauté du personnage[87],[88]. Le fond noir fait ressortir les couleurs de la femme. ». La Jeune Fille à la perle (en néerlandais : Meisje met de parel) est une peinture à l'huile sur toile réalisée par le peintre néerlandais Johannes Vermeer vers 1665. ». », « La coiffure de la jeune fille semble exotique. […] Since Vermeer continued to employ without reserve this pigment even in the last few years of his life when he faced a dramatically deteriorating financial situation due to the war with France, it may be that his rich Delft patron Pieter van Ruijven covered the cost. Beauty is beyond technique. Bien plus, l'idée d'une relation amoureuse entre le peintre et sa servante-modèle tient plus de la romance qu'il ne correspond à ce que l'on sait de la biographie de Vermeer, mari aimant et père attentif d'une famille nombreuse[58],[59]. Au-dehors, les rues sont silencieuses ; la lumière qui tombe du ciel bas est celle que Vermeer a connue. 38. Une lumière franche, provenant du bord gauche du tableau, éclaire le modèle pratiquement de face. La pose de la jeune femme inspirée du Titien[39] (buste de trois quarts dos et visage de trois quarts face), et déjà employée par Vermeer cinq ans auparavant dans La Jeune Fille au verre de vin, crée un effet de tension visuellement intéressant en faisant diverger la position du corps du modèle et l'orientation de son regard, jeté « par-dessus l'épaule »[69]. Ici, il s'agit d'une jeune fille vêtue d'une robe atypique, portant un turban oriental et une perle incroyablement grosse sur son oreille. Les épaules tournées vers la gauche du cadre, elle est montrée de trois quarts dos. », « Au sein de cette âpre société capitaliste, [les peintres] trouvèrent de nouveaux marchés auprès des riches négociants prêts à dépenser des sommes importantes, pour la décoration de leur cadre de vie, ce qui pourrait ultérieurement s'avérer un bon placement. », « Le milieu du visage coïncide avec le centre géographique de l'œuvre », « Le pendant d'oreille sert de point d'équilibre entre le visage de la jeune fille, et l'extrémité libre de son foulard, qui retombe plus prês du plan du tableau que l'on s'y attendrait. Par ailleurs, l'influence de La Joconde que Léonard de Vinci a peinte entre 1503 et 1506 dépasse le simple rapprochement anecdotique, et justifie pleinement le surnom de « Joconde du Nord » attribué à La Jeune Fille à la perle. Some 50 years ago Gowing remarked that an X-ray photograph of the face of the Girl with a Pearl Earring points to the use of the camera obscura and most likely constitutes evidence of the artist's painting technique as well. van Ruijven […]. La Jeune Fille à la perle a été cédée au Mauritshuis en 1903 où elle fait partie de l'exposition permanente[1]. Cette lumière blanche éclaire le visage presque de face. On ne sait pas avec certitude qui est la jeune fille qui sert de modèle à Vermeer. Sauf mention contraire, ces informations proviennent du site du Mauritshuis. », Les travaux de Vincent Icke sur le sujet ont leur légitimité puisqu'en, « tant que scientifique, [il] étudie comment la lumière se déplace entre les étoiles. Tant de lumière irradie du chaste visage d'Elizabeth et de la jeunesse de son teint que la boucle d'oreille, en comparaison, se réduit à un point de détail indigne d'être mentionné ! ». Il y a aussi des reflets de la peau de la jeune fille et du col de sa robe, quelque chose qui ne serait pas possible avec une perle », ce qui tend à montrer plutôt « que le bijou pourrait être fait de verre argenté ou d'étain poli »[139]. La Jeune Fille à la perle (Girl with a Pearl Earring) est un roman historique écrit par Tracy Chevalier et publié en 1999. Ce "reflet" était un petit éclat de peinture, de la couleur du fond clair employé à proximité, et qui avait adhéré à cet endroit lors d'une restauration antérieure. L'impression de profondeur entre l'épaule et le côté du visage le plus proche est largement due à cette perle. Les causes de ce vieillissement restent multiples, et sont dues à l'effet combiné des restaurations successives de la toile, des différentes retouches, de l'évolution du liant utilisé par Vermeer, riche en huile de lin, et de la décoloration partielle de l'indigo[102]. Pour le bleu, Vermeer procède par le dépôt de deux aplats correspondant à la zone éclairée et à l'ombre du turban ; ces deux zones comportent des nuances internes destinées à marquer les plis du tissu[104]. La jeune femme est une adolescente ou une très jeune femme dont on ne voit que le buste. Small hairs from Vermeer's brush are found in the half-tones of the flesh areas. L'économie réalisée par l'emploi d'un modèle non rémunéré est également non négligeable[55], et aurait pu en partie compenser l'achat de pigments coûteux[56]. », « Un turban en tissu et le simple kimono, sur un fond noir, créent sur son visage une luminescence qui semble irradier de sa peau comme par magie ! Ce roman sera traduit en français en 2000. Ce nettoyage a révélé un petit point de couleur constitué de deux taches roses superposées, et figurant un reflet humide juste au-dessous de la commissure gauche des lèvres du modèle[26]. Pieter Claesz van Ruijven, Delft, before 1674, John Michael Montias, « La vente de 1696 », « Né en 1653, l'année où Vermeer s'inscrit à la guilde de Saint-Luc, Jacob Dissius est devenu propriétaire de ces tableaux par l'intermédiaire de sa femme, qui les avaient hérités de ses propres parents. La Jeune Fille à la perle, 1665, Mauritshuis, La Haye La Jeune Fille à la perle aussi appelé La Jeune Fille au turban (en néerlandais : Meisje met de parel) est un tableau peint en 1665 par le peintre néerlandais Johannes Vermeer, dit Vermeer de Delft. Une année s’est écoulée, nous sommes à la fin de 1666. Vous êtes ici : Accueil > Boîtes à souvenirs > Année 2012/2013 > Cycle 3 : CE2, CM1, CM1/CM2 et CM2 > Classe de CM1/CM2 > Pour tout savoir > Fiches d’arts > La Jeune Fille à la Perle Accueil Notre école L’hypothèse se révèle juste. Mais de l’avis général des chercheurs, on estime qu’il a été réalisé entre 1664 et 1667. Depuis cette date, le tableau est la propriété du Mauritshuis où il fait partie de l'exposition permanente[23]. […] Archival research has uncovered enough about Vermeer's household to indicate a close-knit home, full of children and music. Appelée aussi « La Joconde du Nord », pour ses multiples similarités avec celle de Léonard de Vinci, cette peinture a été achevée en 1665. « L'exposition du fameux tableau de Vermeer "La jeune fille à la perle" suscite une véritable frénésie à Bologne, seule ville d'Europe où elle sera montrée cette année avant de retourner au Mauritshuis de La Haye. Précédents dans l'utilisation d'un turban. La jeune fille à la perle, de Tracy Chevalier 8 avril 2018 La jeune fille à la perle est un roman historique inspiré du fameux portrait du peintre Johannes Vermeer. Several authors, ranging from Marcel Proust's friend the journalist Jean-Louis Vaudoyer to New Yorker writer Lawrence Weschler, have suggested she might be the artist's eldest daughter, Maria. La tradition chrétienne en fait un symbole de chasteté en Occident[132],[Note 7], symbole qui paraît bel et bien actif dans cette œuvre[133]. Les reflets de l'ornement peint sont trop lumineux. Her outsize pearl earring is a perfect symbol for light and dark (chiaroscuro), as is her illuminated image against the dense black background. Vermeer's marriage to Catharina in 1653 was manifestly one of love, a Protestant to a Catholic and against both families' wishes. « Johannes Vermeer était le maître de la lumière. Certains auteurs ont d'ailleurs la quasi-certitude que Vermeer a pris une de ses filles comme modèle, la grande majorité des femmes apparaissant dans ses peintures étant son épouse, ses filles ou sa belle-mère[53],[Note 2]. Find helpful customer reviews and review ratings for LA JEUNE FILLE A LA PERLE (French Edition) at Amazon.com. De même, l'hypothèse centrale du film, à savoir que le modèle de Vermeer pour la conception de La Jeune Fille à la perle a été une servante nommée Griet se révèle certainement inexacte car les recherches penchent plutôt vers l'hypothèse de la propre fille de Vermeer, Maria[2]. Deux clients et protecteurs principaux de Vermeer ont été identifiés : le boulanger Hendrick van Buyten[15] et Pieter van Ruijven, un riche percepteur travaillant pour la ville de Delft, dont les liens avec le peintre ont vraisemblablement dépassé le simple rapport de clientèle pour une amitié plus profonde[16]. La Jeune Fille à la Perle "La Jeune Fille à la perle" de Johannes Vermeer est le tableau le plus célèbre de la Mauritshuis. Ce qui frappe d'emblée est le mouvement de la jeune fille qui se retourne et regarde le spectateur par-dessus son épaule. Détail de La Jeune Fille à la perle permettant de voir le point clair qui apparaît après la restauration de 1994. / « Jeune Fille » - Gustave Vanzype, Vermeer de Delft, 1908 / « Head of a Young Girl » - Lucas, Vermeer the Magical, 1929 / « Head of a Girl » - Goldschieder, « Il s'est d'abord appelé la « Fille au turban » puis est devenu à partir de 1995. : Derniers trailers , Bandes annonces des films prochainement au cinéma », De même, pour l'écrivain et chroniqueur au journal, « le mariage de Vermeer à Catharina en 1653 était manifestement un mariage d'amour, qui unissait un protestant à une catholique contre la volonté de leurs deux familles. L'action se déroule à Delft aux Pays-Bas au XVII siècle, et le récit a été inspiré par le tableau de l'artiste Johannes Vermeer, La Jeune Fille à la perle en imaginant l'histoire qui a conduit à la création de cette œuvre. Si le centre géométrique exact de la toile est situé sur la pommette gauche de la jeune fille[119], le point d'équilibre visuel est bien plus matérialisé par la perle, située à égale distance des deux zones claires du front et du bas du turban, et jouant un rôle essentiel dans l'illusion de la profondeur[120]. 11 reçut le prix Barnes et Noble et il se vendit à … modifier - modifier le code - modifier Wikidata. Yellow ochre is the principle pigment of […] lighter yellow tones (mixed with lead white) of the falling scarf. ». Bien plus, les imprécisions mêmes de cet outil en confirment son utilisation (sans pour autant contredire le rendu photographique) : ainsi, les lentilles du XVIIe siècle donnent des images aux contours légèrement flous, si bien que seuls les contrastes entre les zones lumineuses permettent d'en marquer les limites[68],[Note 4]. It cannot be measured, tagged or catalogued. Le tableau est construit suivant la diagonale allant de l'angle inférieur gauche à l'angle supérieur droit, et passe par le visage du modèle[118]. Quant au jaune du tissu pendant sur l'occiput de la jeune fille, il est réalisé principalement à partir d'ocre naturel jaune mélangé à de la céruse[108]. On l’appelait simplement Tronie du nom du genre de peinture très en vogue à cette époque. Ce célèbre tableau de Vermeer présente le buste d’une jeune femme anonyme. Les jours d'hiver, il arrive qu'il n'y ait aucun visiteur dans la salle où elle est exposée. En l'absence de toute forme de preuve vérifiable, les avis penchent majoritairement vers cette dernière hypothèse, et plus particulièrement Maria, la fille aînée du peintre, âgée de 12 ou 13 ans à l'époque de la création de l'œuvre[2],[48]. « Du milieu des années 1660, date approximative à laquelle elle a été vraisemblablement peinte, jusqu'à sa vente en 1882, on ne sait rien de. Le vêtement devait avoir une tonalité plus chaude qu'il ne l'a désormais. It is no wonder that people are enraptured by the glow of her innocent, exquisite gaze. Vermeer painted a similar highlight on the lips of the, « Le reflet sous la perle contenait une petite touche plus claire, qui ne faisait pas partie de la peinture originale. « Alors que la renommée durable de Vermeer, « Son turban est fait de tissu bleu et jaune, ses lèvres sont rouges - les trois couleurs primaires encore. Outre Vermeer, d’autres peintres ont marqué leur époque : Gerard ter Borch, Ferdinand Bol, Frans Hals et surtout Rembrandt. This is shown here in the softness of the girl’s face and the glimmers of light on her moist lips. Ce côté exotique a fait que le tableau a longtemps été appelé « La jeune Fille au Turban ». Sont alors promus des genres picturaux considérés comme inférieurs dans les autres parties de l'Europe. Red madder has also been detected in the lips of the girl. Ce fichier audio a été réalisé à partir de la version du, La version du 24 juillet 2015 de cet article a été reconnue comme «, Commanditaire et propriétaires successifs, Ouvrages portant sur la peinture de l'âge d'or des Provinces-Unies, « pourtant […] pas tout à fait des portraits. », « Il n'est pas étonnant que les gens tombent en extase devant la lueur de son regard si innocent et exquis. De même, à Bologne, le correspondant de l'AFP note qu'elle « suscite une véritable frénésie », ce que confirme le directeur de l'exposition signalant qu'« il y a une fièvre incroyable autour de ce tableau » et qu'il avait « pré-vendu quasiment 100 000 billets » en seulement quelques semaines[162]. C'est dans cette partie ombrée que se détache le scintillement des reflets du pendant d'oreille. La vivacité de l'éclairage rend également invisible l'arête du nez, littéralement fondue avec la joue droite[43],[44]. « On applique l'ancien terme hollandais de, « Leonard Slatkes parle d'une "culture du caravagisme" de Delft. En 1881, Des Tombe prête l’œuvre au musée Mauritshuis avant de lui léguer à sa mort en décembre 1902. Leur proximité va entraîner de nombreuses tensions au sein de la maison des Vermeer, ainsi que des rumeurs qui vont rapidement se propager en ville.". La position de ses lèvres semble indiquer qu’elle nous dit quelque chose ou qu’elle va nous le dire.
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